Savoir poser les bonnes questions permet de relever toutes les imprécisions et erreurs de raisonnement, même si on ne maîtrise pas le contenu.
Avec la carte mentale, l’art du questionnement permet d’avoir les idées claires sur les sujets abordés.
I. L’ART DU QUESTIONNEMENT SCIENTIFIQUE : version pratique et suffisante
= 3 questions + contre-exemple (systématique)
NB: Y a plus d’15 ans, l’œil pétillant et le sourire complice, j’ai posé une question qui aurait dû embarrasser John Grinder (bref, une affirmation grossièrement déguisée), tout content de relever une de ses incohérences par rapport à mes formations et lectures de Programmation-Neuro-Linguistique.
Il a fermé les yeux, pincé sa base du nez en secouant la tête de droite à gauche, tout en réprimant un souffle. Puis, en inspirant profondément, a souri en déguisant l’esquisse d’un mépris et répondu à peu près ça (mon anglais à la Louis de Funès à pu omettre des subtilités):
« Je m’étonne que vous appreniez encore notre PNL des années 70. Fallait bien tout modéliser à l’époque et nos techniques d’alors sont très efficaces. Mais depuis ! Sur nos cheminements différents, avec Richard : on simplifie en cherchant l’efficience en permanence. Suivre à la lettre notre enseignement datant de 30 ans, va à l’encontre du cœur meme de la PNL. »
Et j’ai cru l’entendre penser: « Ah, ces français! Encore dans l’intellect à s’agripper aux concepts durement acquis; faudra bien qu’ils testent et agissent un peu plus… ». Bon ! La dernière phrase, jme demande si jl’ai pas hallucinée…
II. L’ART du QUESTIONNEMENT SCIENTIFIQUE : version complète
= 4 groupes de 11 erreurs de langage et de raisonnement rhétorique à déjouer
Pour avoir une excellente rhétorique, il reste à y associer quelques figures de styles humoristiques…